mardi 6 novembre 2012

Destructuration à vau-l'eau - St Mathieu Ch.20 - RTL Zemmour, mariage homosexuel

Cathédrale Sainte Cécile d'ALBI
Après cette destructuration de la société familiale, la gauche nous prépare-t-elle à la destructuration économique et sociale de France ?

Monseigneur Vingt-Trois : "Ce n'est pas le mariage pour tous, c'est le mariage de quelques-uns imposé à tous, ça n'est pas exactement la même chose", en qualifiant l'adoption des couples homosexuels de "supercherie". Je connais des homosexuels qui se sentent très mal à l'aise depuis cette campagne systématique de dénigrement qui fait des opposants, des victimes d'une tromperie calculée par une minorité

Six mois de présidence et réussir à mobiliser toutes les principales religions du monde, ça n'était pas jamais arrivé !. Un pays sans foi ni loi est voué à la décadence de la morale sociale. En France, et en particulier à Angers, le «Mariage » Gay et l'adoption par des Homosexuels seraient-ils devenus une priorité nationale ?.

Face à ce forcing du lobbying politique de la gauche, peut-on qualifier cette action « attentats aux moeurs » ?. Qu'en dit-elle la définition : «atteinte à la liberté d'autrui par un comportement sexuel imposé...», aux autres homosexuels qui n'ont jamais rien demandé ; ajouter à cela, des enseignants et des politiques qui demandent que nos grands auteurs soient mentionnés homosexuels dans les manuels scolaires, pourquoi pas aussi indiquer leur nationalité et leur religion, sont-ils devenus fous ?.


Comment des politiques responsables du «vivre ensemble», comme ils aiment à le répéter, osent-ils soutenir une petite partie des homosexuels qui se complaisent à répandre leurs propos fielleux tout au long des commentaires sur ma page facebook et sur le site :
"http://www.huffingtonpost.fr/2012/11/03/cardinal-andre-vingt-trois-mariage-gay-supercherie_n_2068740.html?utm_hp_ref=france ", souvent, sans avoir eu le courage de se nommer ?. Et dire que ces malotrus voudraient, de surcroît, adopter des enfants, imaginer leur éducation transmise !.

Pendant ce temps-là, les français constatent qu'en dix ans, la monnaie unique les a conduit à la misère sociale et à la régression économique. Au lieu d'envisager de reprendre leur liberté de battre monnaie comme l'ont déjà envisagé les allemands, nos politiques français, toujours en surnombre, s'arc-boutent à défendre leur pré carré. De plus, ils sont tellement obnubilés par le résultat économique de l'Allemagne qu'ils en oublient que l'Etat français est dirigé par un thaumaturge.

Mes propos sont sévères, mais comment pourraient-ils en être autrement ?. Depuis plus de 15 ans, notre modèle social, notre seule et unique gloriole française, a été attaqué de toute part. Avant la solidarité nationale passait avant les ambitions politiques, les riches [ + de 4000 € selon Hollande] payaient pour les pauvres ; maintenant, ce sont les moins pauvres [ au-dessus de + 900 €] qui payent pour les pauvres. Ces moins pauvres ne peuvent plus se soigner correctement ; désormais, ce sont les riches et les pauvres qui, eux, se soignent beaucoup mieux !. Juste retour des choses, Jésus n'avait-il pas dit

Nos dirigeants politiques français seraient-ils des fidèles lecteurs de la Bible ?. N'auraient-ils retenu que ce passage de l'Evangile de Jésus-Christ selon saint Mathieu, Chapitre 20 ?.
Extraits :...

08 Le soir venu, le maître de la vigne dit à son intendant : « Appelle les ouvriers et distribue le salaire, en commençant par les derniers pour finir par les premiers. »

09 Ceux qui n'avaient commencé qu'à cinq heures s'avancèrent et reçurent chacun une pièce d'argent.

10 Quand vint le tour des premiers, ils pensaient recevoir davantage, mais ils reçurent, eux aussi, chacun une pièce d'argent.

11 En la recevant, ils récriminaient contre le maître du domaine :

12 Ces derniers venus n'ont fait qu'une heure, et tu les traites comme nous, qui avons enduré le poids du jour et de la chaleur !'

13 Mais le maître répondit à l'un d'entre eux : 'Mon ami, je ne te fais aucun tort. N'as-tu pas été d'accord avec moi pour une pièce d'argent ?

14 Prends ce qui te revient, et va-t'en. Je veux donner à ce dernier autant qu'à toi : ...

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