mercredi 20 mars 2013

Polémique commerciale - A quel jeu dangereux jouent-ils nos eurocrates et nos députés européens? - "Crise et Châtiment"...



http://zen-fiatlux.blogspot.fr/2013/03/enieme-plan-immobilier-grand-ecart.html Souvenez-vous que les prochaines élections européennes auront lieu le 25 juin 2014. Citoyenne, citoyen, on vous matraque financièrement et socialement. Comment pouvez-vous encore entretenir ces 777 nantis, députés européens, sans réel pouvoir, tout comme la colonie d'eurocrates Luxembourgeoise et Strasbourgeoise de plus de 50 000 presonnes aux avantages exhorbitants et aux retraites mirobolantes ?.. rajouter le 22 mars
Lien :
Chypre: le vote du plan reporté, vers l'abandon de la taxation des petits dépôts

A quoi jouent-ils : la BCE, la Commission européenne Barroso, le FMI  ?. L'Europe de la finance est-elle gouvernée par des incapables pour envoyer de tels messages aux citoyens de la zone euro ?. Comment peuvent-ils encore avoir un tout petit peu confiance en ces eurocrates qui, eux, ils se sont bâtis un paradis personnel financier sur le dos des contribuables de l'eurozone ?.

"...Selon le communiqué officiel publié à l'issue de plus de deux heures de réunion de l'Eurogroupe, "les autorités chypriotes vont introduire plus de progressivité en ce qui concerne la taxe exceptionnelle sur les dépôts bancaires, à condition que (...) cela ne modifie pas le montant total de l'aide financière" des Européens et du FMI"....AFP

Nos politiciens des Etats de la zone euro sont devenus impuissants devant la concurrence déloyale et inévitable entre les 17 Etats de la zone euro. La guerre économique à l'intérieur de l'Europe fait rage et la France est totalement démunie face au poids de l'€uro-Mark


Dans une interview de Jean-Michel Aphatie sur RTL, François Fillon a déclaré (au sujet du pingouin de Carla) : "Les artistes sont libres, les hommes politiques ne le sont pas.". Je m'autorise à rajouter les journalistes dans le même camp des politiques


" Le pouvoir très provisoirement en vigueur se lamente publiquement de la prétendue crise. Plus les pleurnicheries sont fortes plus il en profite pour renforcer ses interventions super-étatiques en prétendant conjurer cette crise.[...]

[...l'endettement public poursuit sa course favorisée par la furie dépensière du pouvoir; pour retrouver la croissance évaporée il faudrait d'abord équilibrer les comptes publics ; comme l'équilibre n'est pas pour demain, ce pouvoir s'impose en attendant d'infliger de l'austérité, ce qui est une sorte de punition obligatoire pour les peuples abasourdis et conditionnés....]
Michel de Poncins

Tocqueville Magazine
LE FLASH

CRISE ET CHÂTIMENT

Le pouvoir très provisoirement en vigueur se lamente publiquement de la prétendue crise. Plus les pleurnicheries sont fortes plus il en profite pour renforcer ses interventions super-étatiques en prétendant conjurer cette crise. Ce renforcement de l'étatisme rejoint des habitudes profondément et anciennement  ancrées dans l'exception française. Une intervention forte et détaillée de l'État accompagnée d’une galaxie d'usines à gaz serait censée améliorer le sort de la population victime de la prétendue crise et à laquelle est imposé un véritable châtiment : Les plans d'austérité successifs.
Le prétexte de toutes ces formidables manœuvres est un enchaînement de raisonnements et de faits. La croissance serait nécessaire pour résoudre les calamités diverses, parmi celles-ci le chômage continue à déferler ; l'endettement public poursuit sa course favorisée par la furie dépensière du pouvoir; pour retrouver la croissance évaporée il faudrait d'abord équilibrer les comptes publics ; comme l'équilibre n'est pas pour demain, ce pouvoir s'impose en attendant d'infliger de l'austérité, ce qui est une sorte de punition obligatoire pour les peuples abasourdis et conditionnés. Tout cet édifice est largement épaulé par la CEE dont les dirigeants pour des raisons connues partagent l'idéologie du Tout-État. En arrière-fond se situe le FMI dont l'idéologie est semblable. A noter l'extraordinaire passivité du Medef et des organisations patronales dont aucune ne dit la vérité. Complicité ?
La presse et, en particulier, les médias font chorus.Il est de mode de répandre l'idée que la grosse presse serait un contre-pouvoir indépendant ; C'est faux ! Ces flashs ont souvent montré la totale connivence entre les gouvernements et la presse. Nous sommes devant un pouvoir politico-médiatique quasi totalitaire. Les citoyens d'en bas sont livrés à la voracité intellectuelle et financière de cette hydre à plusieurs têtes avec comme seule arme le bulletin de vote dont la vanité est bien connue.

UN ÉDIFICE VERMOULU

Il se trouve que nous sommes devant des faits et des raisonnements mensongers.
La prétendue crise et la panne de croissance ne sont que le fruit de l'action des États, c'est particulièrement visible en France. Le déluge fiscal, ses multiples incertitudes et variations, paralysent toute l'économie. Les entreprises, seules créatrices de richesses véritables, se réfugient dans l'attentisme. Il en est de même des personnes privées qui rencontrent des difficultés pour leurs investissements pourtant essentiels notamment dans le logement ou par des investissements dynamiques.
Quand le plan d'austérité arrive, il est pire que le mal et aggrave la panne. Il en faut très vite un deuxième et c'est le cercle vicieux. Des pays plus avancés dans la calamité, tel l'Espagne en font l'amère expérience. Mariano Rajoy, le Premier Ministre, se prétend de droite mais il copie les gouvernements de gauche en appliquant de faux remèdes ; il en est réduit à envoyer la police réprimer les émeutes.

QUE FAIRE ?

Le peuple français, comprenant de multiples talents, aurait tous les moyens de créer de grandes richesses si on lui laissait la liberté de le faire. Au contraire, une véritable bande de pouvoirs abusifs crée la paupérisation générale dont les plus modestes, comme d'habitude, souffrent davantage. Il existe deux réactions possibles.
Sur un plan global, il faut informer sans cesse pour dénoncer l'imposture. Ceux qui ont la chance de pouvoir influencer une organisation patronale ne devrait pas s'en priver. Une seule organisation disant la vérité pourrait faire bouger les lignes.
Sur un pan personnel et pour la défense de ses intérêts, il est impératif d'ajuster en permanence ses décisions à la réalité des faits.
Michel de Poncins


Après les énormes pots de fleurs du ralliement qui avaient entraîné une indigestion d'incompréhensions entre un commerçant et la municipalité angevine, voilà maintenant une nouvelle polémique "commerciale" qui prend le relais !.
Je m'en tiendrais aux deux années écoulées pour faire sauter un végétal ligneux devant une bijouterie pour justifier ma stupéfaction : Une dénonciation "écrite" adressée à la Préfecture d'Angers par un adjoint au maire ?. Polémiquons !, c'est sans doute un peu exagéré de dire que cette dénonciation est digne de figurer dans les arcanes de la politique ["Canal historique de la francisque"] ?. 


http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Quand-la-mairie-d-Angers-denonce-un-commercant-du-centre-ville_40774-2174958------49007-aud_actu.Htm

http://zen-fiatlux.blogspot.fr/2013/03/la-priere-de-l-angelus-cest-la-priere.html
Courriel : fevrieralain@hotmail.fr

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