La France à l'ère des communautés où chacun y retrouverait son intérêt serait-elle à bout de souffle ?. Le socialisme utopique a donc vécu. Le XXème siècle a connu d'énormes bouleversements de notre communauté nationale. Après la dernière guerre 39-45, on a vu fleurir les communautés urbaines qui se sont regroupées en communautés de communes pour arriver à une communauté européenne désunie sur le plan économique, financier, monétaire et social. La mondialisation imposée par les grands spéculateurs des pays riches a pris le pouvoir. Les politiques des Etats sont devenus des exécutants.
La faute à qui ?
A l'article 104 du Traité de Maastricht qui interdit aux Etats de la zone euro de créer laur propre monnaie !.
Que peut-on espérer aujourd'hui d'une Commission européenne :
Qui nous a volé notre indépendance nationale,
Qui s'est attribuée le droit de légiférer à notre place,
Qui se permet d'infliger des amendes aux Etats récalcitrants
Qui interdit aux 17 Etats de la zone européenne de créer leur monnaie
Qui les oblige à emprunter auprès de banques privées et d'organismes financiers, que chaque Etat doit leur payer un intérêt ruineux
Qui rend tous leurs investissements publics hors de prix.
Qui fait le bonheur des riches rentiers, de détenteurs de fonds de pension.
Qui coûte, rien qu'à la France, 80 milliards d'€uro par an.
Et comble de malheur pour la France, un gouvernement Ayrault qui commence son mandat par opposer la société française avec la proposition 31 de François Hollande. Et, maintenant, ce même gouvernement passe son temps à colmater les brèches ouvertes par leur politique inadaptée et incomprise. La rentrée de septembre 2013 sera un bon test pour voir si la société française, celle qui travaille, accepte d'être sacrifiée sur l'autel de Maastricht !.
Les émeutes de Trappe sont là pour réveiller le communautarisme religieux soutenu par des associations sectaires et exploitées politiquement en ménageant les susceptibilités arabes, tout en donnant l'impression de lutter contre toute formes idéologiques !. 
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire