mercredi 28 août 2013

La gauche détesterait-elle la famille française ?. " Arraché par la force fiscale aux clients des biens sus-nommés, il les empêche de se cultiver librement à leur aise."


La gauche détesterait-elle la famille au point de remettre en cause le bonus fiscal de 10% accordé aux parents retraités ayant élevés 3 enfants ?. Soit notre président et son premier ministre ignorent que, très souvent, les femmes ont arrêté de travailler à la naissance du 2ème ou 3ème et, qu'elles ont consacré de nombreuses années à l'éducation de leurs enfants, en les aidant à faire leur devoirs, à apprendre leurs leçons en veillant sur leurs fréquentations. Elles sont déjà pénalisées fortement lors de leur départ à la retraite. Cette décision politique ne pose aucun cas de conscience aux politiques[nantis], aux syndicats et aux journalistes qui déduisent, en plus de leur 10 %, + 7 600 €/an.

Familles de France, les socialistes sont beaucoup plus à craindre que le parti du Rassemblement Bleu Marine. Vous comprenez pourquoi tous ces privilégiés s'en prennent toujours à Marine Le Pen qui, elle, elle défend les valeurs de la famille française.

Savez-vous qu'entre juillet 2012 et juillet 2013, le nombre de naturalisation d'étrangers a progressé de + 14% ; alors que les 2 années précédentes, le nombre de naturalisations avait baissé !. 


                                            Tocqueville Magazine

PRIVATISER LA CULTURE

«...L'Europe et les USA sont en négociation pour un accord de libre-échange qui sera un des plus importants de tous les temps. La France menace de tout bloquer au nom de cette exception culturelle.
Le gros mot est lâché lorsque le pouvoir crie que la culture n'est pas une marchandise ; l'orchestre des médias reprend cette approximation en boucle. Personne de sensé ne peut évidemment dire ce qu'est la culture ; les formidables intérêts qui avancent masqués derrière l'exception en ont une idée très élastique.»... [...]
«...Le statut fabuleux des intermittents du spectacle est un exemple connu du gaspillage généré au nom de la culture et de la paupérisation qui s'ensuit.
A cette cause habituelle de ruine, il s'ajoute dans le cas particulier, l'obligation inévitable de fournir des contreparties quelque part dans les négociations avec les USA.
S'agissant de biens nourrissant la pensée, les dommages sont de ce fait plus profonds. Les pouvoirs successifs acquièrent au nom de la politique culturelle une influence sur les esprits qui, hélas, s'exerce dans le sens de la culture de mort dont ils sont généralement porteurs. Ce faisant ils reflètent le totalitarisme mondial en expansion permanente ; C'est d'autant plus vrai que la rue de Valois, avec son luxe tapageur, est truffé de gauchistes connus placés là bien au chaud par tous les gouvernements. En témoigne la misérable théorie du genre véhiculée depuis peu par ces milieux...[...]
Michel de Poncins 
Musée Jacques Chirac à Sarran en Corrèze

Voici l'article complet :
« La bataille entre la liberté et le pouvoir totalitaire mondial est absolument sans pitié. La mise en jeu par la France d'une prétendue exception culturelle en est un exemple brûlant.
L'Europe et les USA sont en négociation pour un accord de libre-échange qui sera un des plus importants de tous les temps. La France menace de tout bloquer au nom de cette exception culturelle.
Le gros mot est lâché lorsque le pouvoir crie que la culture n'est pas une marchandise ; l'orchestre des médias reprend cette approximation en boucle. Personne de sensé ne peut évidemment dire ce qu'est la culture ; les formidables intérêts qui avancent masqués derrière l'exception en ont une idée très élastique.
L'essentiel est ailleurs. Il n'y a aucune raison de doter d'un statut spécial, par des lois et réglemementations, les biens relevant d'une prétendue culture ; Disques, photos, pièces de théâtre, films, livres, journaux, émissions radiophoniques ou de télévision, scripts, chansons, peintures et toutes autres espèces de biens semblables ont en commun de vivre sur des marchés où il faut trouver des clients solvables.

LA CATASTROPHE DE LA NATIONALISATION

Les lecteurs habituels ne seront guère surpris par la description des effets de cette nationalisation qui sont les mêmes que pour toute opération super étatique.
La ruine est au premier rang.
Personne ne pourra calculer, et personne n'y a intérêt, l'argent englouti par ce monstre protéiforme qu'est le ministère de la culture. Il est accompagné d'ailleurs par une foule d'organismes divers qui forment autant de fromages à la disposition des camarades. Des dépendances nombreuses prolifèrent aussi dans les régions, les départements et les collectivités locales. L'argent détruit ne revient jamais. Arraché par la force fiscale aux clients des biens sus-nommés, il les empêche de se cultiver librement à leur aise. Si les livres sont chers, c'est pour maintes raisons dont la nationalisation de la prétendue culture.
Le statut fabuleux des intermittents du spectacle est un exemple connu du gaspillage généré au nom de la culture et de la paupérisation qui s'ensuit.
A cette cause habituelle de ruine, il s'ajoute dans le cas particulier, l'obligation inévitable de fournir des contreparties quelque part dans les négociations avec les USA.
S'agissant de biens nourrissant la pensée, les dommages sont de ce fait plus profonds. Les pouvoirs successifs acquièrent au nom de la politique culturelle une influence sur les esprits qui, hélas, s'exerce dans le sens de la culture de mort dont ils sont généralement porteurs. Ce faisant ils reflètent le totalitarisme mondial en expansion permanente ; C'est d'autant plus vrai que la rue de Valois, avec son luxe tapageur, est truffé de gauchistes connus placés là bien au chaud par tous les gouvernements. En témoigne la misérable théorie du genre véhiculée depuis peu par ces milieux.

COMMENT EN SORTIR ?

Il s'impose pour sûr de privatiser la culture. Un pouvoir Libérateur est absolument nécessaire pour délivrer le pays de ses multiples démons. Il aurait sur sa table une liste impresionnante de privatisations à réaliser. La culture devrait être en bonne place.
La respiration des intelligences est à ce prix mais il faudra du temps et de la volonté pour détricoter le Mammouth. »

MICHEL de PONCINS 

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