jeudi 26 septembre 2013

La France sera sauvée par les Entreprises petites ou grandes, le Medef de Gattaz a sa responsabilité.



Ouest-France du mardi 24 décembre 2013

Point de vue par Pierre Gattaz, président du Medef

La Solution au chômage : l'entreprise

« Le gouvernement devrait se consacrer sans relâche à la lutte contre le chômage. Pourquoi ? Parce que ce triple fléau entraîne notre pays et nos cconcitoyens vers l'abîme. C'est d'abord un drame humain. C'est ensuite un coût économique pour la collectivité car une partie de nos forces vives est à l'arrêt. C'est enfin un accélérateur des déficits des régimes sociaux

Trois solutions sont possibles pour mener ce combat :

La contrainte, d'abord obliger les entreprises à embaucher ; interdire ou compliquer les licenciements ; ajouter des dizaines de pages au Code du Travail. Solution antiéconomique, irresponsable, suicidaire, etc...

La subvention, ensuite, Développer les emplois « aidés ». Solution éventuellement utilisable de façon temporaire, mais surtout pas de manière durable et massive car ses emplois sont payés par l'impôt. Au lieu de générer de la richesse, ils alourdissent les charges et creusent notre endettement. Fausse solution.

La troisième solution, c'est de donner aux entreprises la confiance qui leur permet de créer des emplois payés par les clients et les marchés. Des emplois qui rapportent à la collectivité et ne coûtera rien. Cette dynamique vertueuse est la seule économiquement et durablement valable.

Créeer un environnement favorable

Quel est l'acte générateur de création d'emploi pour une entreprise ?. La croissance...» etc

Le Sommeil paradoxal  des syndicats français a déclanché un nouveau rêve dans le microcosme des centrales syndicales. Avec leur 6% d'adhérents salariés et l'importante manne financière, publique et privée, distribuée par les pouvoirs publics en provenance principalement de la formation professionnelle, leurs leaders syndicaux permanents ont décidé de fournir l'élixir parégorique qui manque cruellement à la gauche. Ils vont passer leur temps à faire de la politique politicienne !. Le soutien et la défense des salariés français passent donc au second plan. L'urgence, c'est de faire campagne contre Marine Le Pen et son Rassemblement Bleu Marine !. Faut-il que la gauche française soit mal à l'aise pour aller implorer l'aide d'une poignée de syndicalistes qui soutiennent la politique destructrice du Gouvernement Ayrault : Budget 2014 : Les ménages français ont droit à 13 milliards d'impôts  de plus qu'en 2013. Les retraités qui ont élevé 3 enfants et plus, ces mères ayant eu une activité réduite pour éduquer leurs enfants, elles vont être punies, elles aussi, par le PS ; leur gracieux 10% du montant de leur petite retraite sera soumis à l'impôt !. En continuant les bonnes nouvelles en provenance de l'Elysée-Matignon : Hausse de la TVA, des cotisations sociales, des déremboursements maladie, etc... Il y a un an et demi, vous ne pensiez pas que cette gauche au pouvoir vous aurait fait autant de Cadeaux "fiscaux" !


On ne peut pas être partout !!! et militer pour une pensée unique !
Si vous n'aviez pas encore compris, les centrales syndicales font de la politique, la preuve :


« Les syndicats français sont très inquiets de l'influence grandissante des thèses du Front National dans les entreprises [après quelques contacts, il semblerait que cet argument n'est pas justifié,. Donc, ça ressemblerait à de la manipulation de l'opinion publique ?]. Trois d'entre eux – CGT.FSU. Solidaires – vont organiser, en janvier, deux jours de réunion publique de « grande ampleur et de haut niveau » Rien que ça !
« pour combattre la propagation des idées d'extrême droite et du Front National « L'opposition des syndicats au Front national se focalise d'abord sur sa thèse de la « préférence nationale ». La CFDT et l'Unsa devraient mener campagne de leur côté. FO va publier une circulaire pour rappeler l'interdiction de se prévaloir de son mandat syndical pour mener une campagne politique. » O-F du 25 septembre page 5.
La CFTC n'a pas été interrogé ???

On m'a toujours dit qu'un syndicat ne faisait pas de politiques !
Ah bon !!!


Dans quel compte de campagne vont-elles figurer toute ces dépenses publiques ???

Ils ont résistés, ils ont donné leur vie pour nous.
Il y a 70 ans...

" ...Amis, entend-tu les cris sourds du pays qu'on enchaîne ?
Ohé partisans, ouvriers et paysans, c'est l'alarme..."
Composé à Londres en 1943 par Anna Marly, adapté par Joseph Kessel et Maurice Druon, le texte fut publié dans «Les cahiers de la Libération », le 24 septembre 1943. 
Le Tour de France des oubliés

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