mercredi 27 novembre 2013

Hymne d'un pourfendeur à l'Etat souteneur des femmes de "petite vertu"...


Palais Bourbon

Hymne d'un pourfendeur à l'Etat souteneur !

Cette Vème République, sur l'autel de Bruxelles,
Elle n'a plus que son nom pour pouvoir en parler.
Quand on perd son prestige et ses prérogatives
Au profit d'une Europe qui est notre tutelle,
La France n'est plus la France, elle est bien maltraitrée,
Son peuple exaspéré par toutes ces directives.

Avoir le droit pour eux, disposer de la loi,
Fonctionnaires et ministres, nous taxent et nous imposent
Chaque jour davantage, contribuables aux abois.
Liberté de baiser et liberté de vivre, sont-elles remisent en cause ?
Maîtresse ou bien hôtesse, putains ou prostitués,
Dans les grandes Métropoles, au fin fond des campagnes,
Être une femme prostituée, contrainte ou libérée,
Qui va en décider, entre pute et compagne ?.

Politiques élitistes, parisiens, provinciaux
Qui embauchent leur femme et même leurs amies,
Et parfois leur maîtresse, nous prennent-ils pour des veaux ?.
N'ont-ils rien d'autre à faire que de tuer leur ennui ?.
Quand beaucoup se séparent, ils veulent les marier tous ?.
Toutes ses bourses se vident, l'Etat cherche du pognon.
Ces femmes de p'tite vertu, une aubaine pour vous.
Un rempart financier, faisons payer les cons.
Pourquoi ne pas détruire ce vieux métier du monde,
Nous les UMPS, dans la casse on abonde.

Le choix est cornélien quand il faut régenter
La liberté sexuelle et notre vie privée.
Poursuivre le proxénète, en l'occurrence l'Etat
Garder le fond d'commerce en taxant le client ?.
Mystifier l'opinion, oublier Félix Faure.
Vouloir être César et, n'être que Pompée,
Notre Georges Clémenceau, ne s'y est pas trompé.
Ces passes d'ébauchage ne sont que des éclats,
Faire-valoir d'hypocrites qui voudraient faire le bien.
Cette «précieuse» politique prohibe la tête de maure

Parlementaires zélés, seront-ils les premiers
A passer au guichet pour verser leurs deniers ?.

Zen-fiatlux, le 27 novembre 2013

Sénat

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