dimanche 19 janvier 2014

L'Univers se déchaîne. Tous ces batifolages, attirance pour jeunes femmes, nos hommes politiques veulent-ils retrouver une seconde jeunesse ?


 
A l'insouciance des années 30, succèdent, aujourd'hui, l'immoralité et la cupidité des années 2000

Cet extrait date de la fin des années 30 qui avait débouché « sur l'émergence de libertés originales, telles que l'égalité des droits politiques entre sexes et classes sociales... » Wilkipédia

«...On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains. Comme tranquillisant social, il n’y a rien de mieux. En général, on fera en sorte de bannir le sérieux de l’existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d’entretenir une constante apologie de la légèreté ; de sorte que l’euphorie de la publicité devienne le standard du bonheur humain et le modèle de la liberté....» Extrait du Meilleur des mondes d’Aldous Huxley (1932)   
L'Univers se déchaînent, révolte des éléments,
La Terre, l'eau et le feu vont-ils manquer d'air ?.
Une Tour de Babel brouille les Gouvernements
Vers l'Europe uniforme qui conduit aux enfers.
Un déluge de paroles et des pluies torrentielles
Du Finistère au Var, la nature se rebelle,
L'Hexagone malmené, ce n'est plus un mirage
Attirances pour jeunes femmes, tous ces batifolages,
Objectifs hasardeux, pour élites politiques,
Retrouver sa jeunesse et sa virilité,
Jouer Casanova avec l'argent public,
Imposer à son peuple la rigueur et l'éthique,
Augmenter les impôts et entretenir ses dames
Quand on est chef d'Etat, ça provoque des drames,
Dans l'opinion publique, le doute est installé.
Courir le septième ciel pour un homme public,
C'est, d'abord, s'exposer à la risée du monde.
Médias, bien complaisants, ils jouent les Cunégonde !.
zen-fiatlux.blogspot, le 20 janvier 2014


Voltaire a écrit : "L'homme est né pour le travail comme l'oiseau pour voler" et La Rochefoucauld de compléter : « L'homme oisif est comme l'eau qui dort : il se corrompt. »
 
En parodiant «Le Cid », hommage aux populistes, citoyens respectables de Brignoles et d'ailleurs.

Ombrage ! Ô ces sondages ! Ô FN ennemi !.
N'ai-je donc tant déçu que pour cette incurie
De me réjouir trop vite de ma guerre au Mali
Pour voir les Brignolais me créer tant d'ennuis

Ma Cour qu'avec respect, les voltairiens admirent,
Ils me croyaient capable de sauver notre France
Mais l'Europe de Bruxelles a brisé mes ardeurs
Tant de fois mon Ayrault a contré tous mes dires
Ainsi que ses ministres qui vont jusqu'à l'outrance
Mon constat est terrible, je cumule les erreurs.
Faut-il de ces échecs, voir triompher Marine
Pour donner une leçon à tous ces socialistes
Qui ne pensent que vengeance contre les populistes.
Je conserve mon honneur et le PS rumine
Ah ces parlementaires, Tartuffes et Trissotins
Ils nous parlent de morale et si peu de vertu,
Ils n'ont pas l'esprit libre tous ces simples dauphins,
Qui flattent leur égo, ils seront tous cocus

Zen-fiatlux. Le 8 octobre 2013
                

On demande à Corneille:
Qui sera le héros de cette bataille d'égo,
Don Diègue ou son rival, le Comte de Gormas ?.

On demande à Voltaire :
« Les bienséances du monde ». Pourquoi fait-il l'éloge de Molière, «honnête homme», aux grandes vertus sociales ?

Nicolas Boileau «...En vain contre le Cid un ministre se ligue, Tout Paris pour Chimène a les yeux de Rodrigue...»
[...]
Don Diègue :
Ô rage ! ô désespoir ! ô viellesse ennemie ! 

N'ai-je donc temps vécu que pour cette infamie
Et ne suis-je blanchi dans les travaux guerriers
Que pour voir en un jour flétrir tant de lauriers ?
Mon bras qu'avec respect tout l'Espagne admire,
Mon bras, qui tant de fois a sauvé cet empire,
Tant de fois affermi le trône de son roi,
Trahit donc ma querelle, et ne fait rien pour moi ?
Ô cruel souvenir de ma gloire passée !
Oeuvre de tant de jours en un jour effacée !
Nouvelle dignité fatale à mon bonheur !
Précipice élevé d'où tombe mon honneur !
Faut-il de votre éclat voir triompher Le Comte,
Et mourir sans vengeance, ou vivre dans la honte ?
Comte, sois de mon prince à présent gouverneur ;
Ce haut rang n'admet point un homme sans honneur ;
Et ton jaloux orgueil par cet affront insigne
Malgré le choix du roi, m'en a su rendre indigne.
Et toi, de mes exploits glorieux instrument,
Mais d'un corps tout de glace inutile ornement,
Fer, jadis tant à craindre, et qui, dans cette offense,
M'as servi de parade, et non pas de défense,
Va, quitte désormais le derniers des humains,
Passe, pour me venger, en de meilleurs mains.
Le Cid de Molières, extraits de l'acte 1 scène 4

[...] et de l'Acte 1 , Scène 6 Don Rodrigue
Mourir sans tirer ma raison !
Rechercher un trépas si mortel à ma gloire !
Endurer que l'Espagne impute à ma mémoire
D'avoir mal soutenu l'honneur de ma maison !
Respecter un amour dont mon âme égarée
Voit la perte assurée !
N'écoutons plus ce penser suborneur,
Qui ne sert qu'à ma peine.
Allons, mon bras, sauvons du moins l'honneur,
Puisqu'après tout il faut perdre Chimène.
[...]
http://zen-fiatlux.blogspot.com

Dans moins de dix ans, au train où vont les choses et, avec les politiques accrocs à la soumission à la BCE et à la Commission européenne, la France et les Français ressembleront à ça :

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