dimanche 18 mai 2014

Elections Européennes, voterez-vous pour cette europe là ?. Non catégorique aux partis installés, ils ont conduit la France au désastre économique et social.



Parlement européen à Strasbourg

En ce dimanche ensoleillé, oublions d'incriminer des journalistes besogneux, de dénoncer la surinformation ciblée, [parfois falsifiée], dans les grands médias. Dimanche 25 mai 2014, on vote pour élire 74 députés français qui siègeront parfois, souvent, aux Parlements européens, à Bruxelles et à Strasbourg.

Parlement européen à Bruxelles

A chaque scrutin, pour chaque élection, toujours ce même sujet rébarbatif, comment peut-on se faire une opinion politique, choisir le bon candidat, le bon parti politique qui incarnerait le mieux nos idées ?. Pourquoi, c'est devenu un véritable casse-tête chinois :

Sous couvert de la laïcité et de la pédagogie institutionnelle, nos politiques utilisent nombre de subterfuges pour justifier de leurs actions et, conforter leur position. Pour en arriver à leurs fins, ils ont à leur disposition une ribambelle de conseillers, de communicants et de coachs qui, eux-mêmes, ont à leur disposition un volumineux catalogue de supercheries de la politique politicienne. Par exemple, figurent sur cette liste mensongère : propagande, manipulations de l'opinion [Lundi, le lobby juif, Mardi, l'extrême droite, Mercredi, le racisme, Jeudi, le sexisme, Vendredi, l'esclavagisme, Samedi, les arabes, Dimanche, les Chrétiens, pas assez de jours dans la semaine pour l'Extrême Gauche, les antifas, mais chaque jour [Normal] qui passe, Marine Le Pen fait la UNE et son parti FN-RBM...], d'incitations en tout genre, à la désobéissance civique, à la transgression des valeurs, à la victimisation, etc...., allant, très souvent, jusqu'à dénaturer l'étymologie des mots !. En politique, tous les moyens sont bons pour réussir !.

Montesquieu l'avait déjà évoqué, notre actuelle République aristocratique. On est à la merci d'une poignée de décideurs politiques sous la coupe d'un président « cavaleur ». En coulisse, les négociations souterraines entre personnes et partis politiques différents, elles vont bon train. La collaboration, la corruption des moeurs et des idées quand elle n'est pas financière, ce ne pas de la fiction. Le corporatisme des syndicats enseignants empêche de « dégraisser le mammouth » comme l'avait dit, « en privé », le ministre de l'Education nationale, Claude Allègre, viré à la suite de cette petite phrase. Cette locution ministérielle résume, encore plus aujourd'hui, le malaise grandissant dans la chute vertigineuse du savoir dans nos écoles, nos collèges et nos lycées.


Comme l'écrit le journaliste du Le Figaro : « Devenir professeur avec 4/20 de moyenne, c'est possible ».

Au début du siècle dernier, un certificat d'Etudes correspond, aujourd'hui, à un baccalauréat ! 
Ecole , au siècle dernier, dans les Abers-29
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