lundi 4 avril 2016

" Véritable adversaire, mon ennemi la finance," " Panama papers gate " épargne deux nations


" Véritable adversaire, mon ennemi la finance,"
Oubliant en passant, l'inspecteur des Finances
Directeur financier de sa présidentielle,
Businessman éclectique, énarque providentiel,
Les portage d'actifs, les paradis fiscaux
C'est de sa compétence et il a ses réseaux.
Les sociétés offshore, Hong Kong et Caïmans,
La gauche est rassurée, dites-le moi, si je mens !.

" Panama papers gate " épargne deux nations.
Etats-unis, Allemagne échappent à ce scandale.
Les médias allemands révèlent l'information !.
Seraient-ils des exemples en justice pénale ?.

Répression, récession, leur unique solution
Pour répondre aux questions de la population,
Son exaspération est en pleine ascension.
Seule une révolution réveillera la Nation.

Unité nationale sans le Front National,
Un Front républicain, une vraie bête à chagrins
Qui provoque un scandale, un affront national
Pour tous les électeurs qui ne croient plus en rien.

Centre, le Centre droit, organisent leur primaire.
Leur Front républicain n'est plus d'actualité.
Les partis politiques ne sont plus solidaires.
Jusqu'aux présidentielles, ils vont se déchirer.

France des communautés, totalement divisée,
Elle refuse d'assumer ses erreurs du passé.
Cet afflux d'immigrés est une absurdité.
Les attentats ciblés, qui peut les ignorer ?.

Les sondages bidonnés gangrènent la société.
Électeur ignoré, n'est jamais consulté.
Pourquoi aller voter, cautionner leurs idées
Qui nous sont imposées, Démocratie bafouée !.
B.V.A., ODOXA, les sondages des médias
Entretiennent les bla-bla de tous ces renégats.
Il faut remettre à plat, l'Europe à la papa,
Leurs romands de Kafka ont volé en éclats !.

Suffrage universel passé au lave-vaisselle
Par des parlementaires, exigence de Bruxelles.
Menu des eurocrates est toujours consensuel ;
Journalistes, politiques usent de la même écuelle.
Alain Février, mardi 5 avril 2016.
Image archives 2011, "on est pas couché"

Dans « on est pas couché » Thomas, le député qui cherche l'absolution

1 commentaire:

François a dit…

Une prose en forme de complainte