vendredi 21 octobre 2016

Liberté de penser, liberté d'expression Journalistes d'iTélé ont-ils des préjugés ?


Liberté de penser, liberté d'expression
Journalistes d'iTélé ont-ils des préjugés ?
Le motif de leur grève, est-ce l'inconviction
Du présumé coupable, mais pas encore jugé ?

Syndicat SNJ est-il juge et partie ?.
Aucun autre métier n'est autant protégé.
" Dans l'intérêt de tous " ou celui d'un parti,
Journalistes sont-ils de vrais enfant gâtés ?

Commission de la carte sous tutelle de l'État,
Est-elle sous influence du contexte politique ?.
Avantages, privilèges sont source de débats.
Y'a-t-il une collusion médias et politiques ?.

Une motion de défiance ou motion de censure,
Contre des journalistes qui ne sont pas de gauche.
Un abus de pouvoirs dans une certaine mesure,
Qui suscite un obstacle au niveau des embauches.
Alain Février, samedi 22 octobre 2016

" La clause de conscience du journaliste est prévue à l'article L7112-5 du Code du travail. Ce dernier dispose que si la rupture du contrat de travail intervient à l'initiative d'un journaliste professionnel en raison du "changement notable dans le caractère ou l'orientation du journal ou périodique si ce changement crée, pour le salarié, une situation de nature à porter atteinte à son honneur, à sa réputation ou, d'une manière générale, à ses intérêts moraux", elle produit les mêmes effets qu'un licenciement. L'employeur est donc tenu, dans ce cas, de verser au journaliste une indemnité." Sources Pure médias.com


" La clause de cession est, comme la clause de conscience, une disposition du statut du journaliste votée en 1935 à l'unanimité par le parlement, qui permet à tout journaliste de quitter de sa propre initiative une entreprise, tout en percevant les indemnités de licenciement lorsque le journal ou le périodique auquel il collabore est cédé.

Extraits d'un article publié dans L'express-L'Expansion

Jean-Marc Morandini, mis en examen pour "corruption de mineur aggravée", demande vendredi dans une tribune publiée sur le site du journal Le Monde qu'on le "laisse travailler"

"Nous sommes convaincus qu'il est préférable que vous renonciez à votre venue. Nous vous le demandons. Dans l'intérêt de tous", écrivent les journalistes après le vote mardi d'une motion de défiance contre leur direction.

L'animateur, de son côté, "souhaite rappeler que la justice ne "lui" a pas interdit la poursuite de "son" activité professionnelle".
"Que signifie la présomption d'innocence, que chacun estime respecter, si je ne peux exercer mon métier avant la fin d'une procédure pénale qui peut être longue et malgré l'absence d'une telle interdiction professionnelle ", interroge-t-il.


"Je comprends que les conditions de mon arrivée suscitent l'inquiétude de nombre de mes confrères, mais je mettrai tout en oeuvre pour leur démontrer que je suis digne de contribuer au travail de la chaîne iTELE", assure l'animateur. 
" Dans aucune circonstance de ma vie , je ne plierai,
Mon langage et mes actions au gré des partis,
Ni pour obtenir leurs faveurs, ni pour sauver ma tête."
Louis-Marie de La Révellière-Lépeaux-ANGERS


Syndicat des devoirs et droits des journalistes,
Ses pouvoirs excessifs ne sont pas concevables
Dans un État de droits constitutionnaliste.
Au vingt et unième siècle, ce n'est pas acceptable.

Une motion de défiance ou motion de censure,
Contre des journalistes qui ne sont pas de gauche.
Un abus de pouvoirs dans une certaine mesure,
Qui suscite un obstacle au niveau des embauches.

Commission de la carte sous tutelle de l'État,
Est-elle sous influence du contexte politique ?.
Avantages, privilèges sont source de débats.
Y'a-t-il une collusion médias et politiques ?.
[...]


Le désordre est partout, le peuple désespère.
Gouvernement, Justice, manquent d'autorité.
Ses voyous sauvageons, selon le ministère,
Ces caïds de quartiers, islamistes compères,
Harcèlent les policiers, la violence prolifère.
Ces agressions mortelles engendrent la colère.
[…]

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